lundi 5 juillet 2010

Lit et ratures


Ô lit veux-tu m'accueillir
que je puisse enfin m'évanouir
entre tes draps et ses bras
je m'ennuie comme un rat

Ô lit voila que mes yeux
ne consentent a se fermer
ces yeux, de fatigue chassieux
Et Morphée qui me rit au nez

Ô lit ! vieilles histoires
que l'on me conte pour dormir
m'agacent a en mourir
qu'on me serve à boire !

Quand soudain s'élève la clameur
de fiévreuses rêveries
sommeil, voila venue ton heure
Que les lampes s'éteignent et
que l'imagination brille !

Ô lit viendra le jour
et je ne puis te quitter
mes yeux sont scellés et mes membres lourds
et d'autres raisons que je ne puis citer

vendredi 2 juillet 2010

RIP mon amour

Misère est notre misère,
périssables sont nos corps.
Tu retourneras sous terre,
et moi, je vivrai alors...

couverte d'oripeaux
de mon passé, ma jeunesse
agitant les drapeaux
de victoire, de détresses
pourrais-je aimer a nouveau ?
C'est là que le bât blesse