Et Nefertity dans le journal !

Premier portrait sur la petite Nef herself !
a lire avec des précautions (mettre des gants, fermer le gaz, boire 2 ou 3 vodkas...)


http://www.aufaitmaroc.com/fr/actualite/maroc/article/rim-battal-photographe-en-herbe/

Merci a Bassirou Bâ.

Liberté conditionnelle

Amours folles
et liberté conditionnelle
sous la camisole.
Amours obsessionnelles.

Les clopes s'éteignent sur ta peau,
des joies dorénavant lointaines.
les mots m'étreignent la poitrine,
quand mon nez évite le caniveau.

J'esquive, j'esquive
comme a l'escrime
le duel de la mort
victoire est a celui
qui ne craint le crime
la blessure est vive
la blessure est vive

et mon amour aigri

Noces tardives

Ensemble
pour le meilleur et pour le meilleur.
Pour le pire,
tu te démerderas toute seule.

J'achèterai une maison
que je pénètrerai
en même temps que toi
une bague au doigt,
des menottes aux poignets
Tu es ma possession
Tu es l'OBJET
de mes désirs
mes déraisons
et mes poèmes
en construction

Hier...

...J'ai fêté mes deux ans :)

Rattrapper le temps perdu...

Si j'arrive pas a me rattraper, je pars. c'est décidé. définitivement, ils ne me rattraperont pas.

Guitare qui vibre. j'entends des mots que je ne prononce pas. c'est ma voix pourtant. c'est sa voix pourtant il n'est pas la. je craque, comme une branche sèche. je déraille. comme dérision. Mais ces voix?! elles sont bien réelles puisque je les entend. on prononce mon prénom. dites leur de se taire. J'avais la chaire de poule la première fois. parce qu'il y'a bien eu une première fois. c'est quand on les écoute qu'ils parlent plus fort. je n'aurais pas du leur donner cette chance.
ils ne discutent pas longtemps. sans doute ils n'ont rien a dire. quelle vie de merde que d'etre juste une voix! je ferme les oreilles. elles sont toujours la. pitié, laissez moi dormir. laissez moi oublier que j'ai réussi une fois. laissez moi oublier que je peux, mais que j'ai voulu autre chose.

Automne

Des feuilles mortes sur mon balcon
et a balayer sur mon bureau
Trop d'envies inondent le con
que tu es, mon bourreau.

L'automne est la
frigide douleur d'un amour fertile
en promesses

lèvres béantes incarnates
et baisers perdus
dans les fibres optiques.

Morphine

J'esquivais le sommeil
dans tes lèvres vermeilles
longtemps, j'ai lutté
Mais Morphée a triomphé