Tournoyant autour du pot, tournoyant
haletant, mon cœur, dans la moiteur de ton bain
oiseau oisif, décortiquant le commun
Mon cher, les jours deviennent si épuisants
a forcer les poitrines pour y mettre de l'humain
seule contre toi, ma douceur, seule contre le temps
Habité par l'émoi des jours passés, et des lendemains
amoureux bouleversé, et amant bouleversant
sans tes mains au tour de ma taille ondulant
copuler, pire qu'une humiliation, devient.
Oh et puis, hbibou, autant en emporte le vent !
eplorée, je ne le serai qu'à tes pieds, te servant.
Tends les bras, ma douleur; mon épitre touche a sa fin.